Je vous annonçais fièrement un article sur Fatal, le film dans cet article. La voici.
Tout d'abord, je vais vous parler de "Fatal Bazooka", personnage principal du film, créé par Michael Youn pendant ses émissions du "Morning Live". Bien que pas franchement fan de l'émission, j'ai eu l'occasion de la regarder beaucoup : sa période de gloire ayant eu lieu pendant les deux étés où je préparai le bac de français et le bac tout court... (soit 2001 & 2002).
Je ne suis pas un grand amateur de ses films non plus : "La beuze" et autres "les onzes commandements" me laissent de marbre...
Cependant, après tout cela, Michael Youn a enregistré l'album de "Fatal Bazooka" en 2007. Album où figure entre autre le "tube" : "Fous ta cagoule", loin d'être la plus marrante, il y a un humour relativement fin et des blagues que l'on ne comprend pas/n'entend pas forcément à la première écoute... Si vous avez l'occasion je vous conseille le "Saturday Night Kebab", et "Chienne de vie".
Bref, Fatal est un personnage haut en couleur, plein d'humour, de finesse.
J'ai donc été très très enthousiaste à l'idée que Michael Youn avait l'intention de pousser le vice encore plus loin et de réaliser un film sur la vie de ce personnage...
Publié le : 05/07/2010 à 08h51
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Petites séances de cinéma du mois de juin 2010
Avec ce temps, on aurait envie de bien peu de choses, à part d'un peu de fraicheur... Et il y a un endroit où on peut en trouver facilement, c'est dans les salles de cinéma...
Pour commencer, il y a eu "Crazy Night"... On m'en avait dit tellement de bien, que c'était drôle, que c'était comme "Very Bad Trip" : et bien une chose est sûre : je ne regrette pas du tout de ne pas avoir vu ce dernier.
Crazy Night n'a pas réussi à m'arracher un éclat de rire et difficilement un sourire. C'est du bon gros humour américain mélange entre 40 ans toujours puceau et d'autres bonnes grosses comédies américaines potache et totalement incipide...
Bon, mais il n'y a pas que des mauvais films en ce moment : il y en a des pas mal comme "les meilleurs amis du monde", film avec Marc Lavoine et Pierre François Martin Laval. Après avoir lu le résumé, le scénario est plus qu'inspiré de la pièce de théâtre : "J'aime beaucoup ce que vous faites". Sauf que contrairement à celle-ci, le film réussit à être drôle tout le long et à tenir le spectateur jusqu'au bout (non sans difficultés quand même).
Marc Lavoine en bon beauf' avec sa petite moustache a au moins ça : ma douce fantasme un peu moins sur lui...
Bon mais il y a quand même des films très bien à aller voir en ce moment...
Publié le : 03/07/2010 à 13h55
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Mon avis sur Captain EO Ã Disneyland Paris
Ca y est !
Je l'ai "re-" fait ! J'ai redécouvert l'attraction Captain EO, fermé en 1998, Michael Jackson est de retour à Disneyland Paris.
J'en avais parlé avant, maintenant je peux vous donner mes impressions "après".
Ce n'est pas l'attraction du siècle, c'est sûr. Mais elle présente un certain nombre d'avantages :
Publié le : 17/06/2010 à 20h32
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Ode au public parisien : pressé de partir ?
Vous qui assistez à des concerts, vous chers lecteurs de ce blog, vous avez sans doute remarquez les personnes dont je vais parler (ou peut-être même faites vous parti de ces gens là...) : les gens qui partent avant la fin des spectacles, des concerts, des matchs.
Petit descriptif pour vous rafraîchir la mémoire : au premier rappel, on les sent trépignant d'impatience sur leurs chaises (impatient à l'idée de partir, genre, j'en ai marre ?), ils se lèvent puis se rassoient constatant avec déception que le chanteur revient...
Puis vient la dernière chanson (dans l'hypothèse où il n'y a qu'un seul rappel), souvent réorchestré avec une fin instrumentale plus longue que l'original, pendant laquelle l'artiste s'en va...
C'est souvent au milieu de cette chanson que le parisien s'en va, exaspéré d'attendre (que ce calvaire en finisse ?).
Je ne comprend pas que l'on puisse payer une place pour un spectacle l'on ne reste pas jusqu'au bout...
Du coup, ne voulant pas croire que les gens viennent voir un spectacle forcé et contraint après avoir investi 40€ par place, j'ai essayé de leur trouver des excuses... Mais cela n'a pas été simple !
Publié le : 26/05/2010 à 20h51
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Petites séances de cinéma du mois d'avril 2010
Bien que je ne souhaite pas faire de l'ombre à d'autres blogs proposant des critiques de cinéma, je me permettrai juste de vous donner un avis rapide sur les derniers films que j'ai eu l'occasion de voir ce mois-ci...
On commence par l'Arnacoeur avec Romain Duris et Vanessa Paradis. J'y allais vraiment à reculons et je dois admettre que j'ai été très agréablement surpris : j'ai même beaucoup accroché. (Et comme j'aime beaucoup Vanessa Paradis, je n'ai pas été déçu...)
On continue avec Manolete, sortie discrete avec Adrien Brody (le village, le pianiste, King Kong) et Penelope Cruz. L'histoire de Manuel Rodríguez Sánchez, dit " Manolete ", célèbre matador des années 40. Sortie dans très peu de salles, malgré les grandes affiches que j'ai pu voir à de nombreuses reprises aux abords des gros complexes. Un peu dommage du coup.
Publié le : 21/04/2010 à 08h54
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J'ai eu la chance de voir avant qu'elle ne disparaisse de l'affiche la reprise de la fameuse pièce : "la cage aux folles" avec Didier Bourdon et Christian Clavier.
Je profite d'ailleurs de cet article pour signaler le dédain avec lequel nous avions été reçu en septembre (commencement de la pièce) et où on m'avait gentiment fait comprendre, qu' "ici au Théâtre de la Porte Saint-Martin, nous n'avons pas besoin des jeunes pour remplir notre salle"...
C'était bien la peine d'être aussi dédaigneux pour 5 mois plus tard chercher à la remplir avec ces mêmes jeunes...
J'ai vraiment été ravi par cette pièce et je ne regrette pas un seul instant de l'avoir vu.
Je n'avais pas vu (et je n'ai toujours pas vu d'ailleurs) l'original, mais je pense qu'au même titre qu'Oscar avec Bernard Tapie, si on arrive à oublier l'original, on passe un très bon moment.
Didier Bourdon et Christian Clavier endossent respectivement les rôles de Michel Serrault et Jean Poiret.
Publié le : 05/04/2010 à 14h00
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Restaurant Chai 33 - Paris Bercy
Si un jour en sortant du cinéma (et de l'UGC Bercy en particulier), vous avez un petit creux et que vous êtes en début de mois (et que, par la force des choses, votre porte monnaie vous le permet) : n'hésitez pas : aller faire un tour au "Chai 33".
Le chai 33 est une grande brasserie comtemporaine dédiée au vin où vous serez invité à aller chercher votre vin dans la cave qui contient plus de 300 références. La vaste carte de l'établissement vous permettra d'y découvrir des mets traditionnels et bien exécutés pour satisfaire tous les goûts.
J'avais déjà eu l'occasion de me rendre dans ce restaurant il y a 2ans et demi à l'occasion d'une avant première du film "Faut que ça danse", et j'avais déjà été convaincu.
Toutefois, cette fois, nous y étions seulement entre amis, et du coup j'ai pu en profiter beaucoup plus, moins tendu / stressé de faire une gaffe...
Une formule aux alentours de 30€ pour le soir, et une bouteille de vin "de qualitay" aux alentours de 50€ (on a pris une des moins chers...), cela peut paraître un peu cher et excessif... Bon, ça l'est peut-être, mais le cadre est vraiment très sympathique, la cave est un régal pour les yeux, on se croirait vraiment dans un véritable chai.
Publié le : 02/04/2010 à 18h53
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Roméo et Juliette : les enfants de Vérone - 2010
Après "Roméo et Juliette, de la haine à l'amour" (2001), la comédie musicale de Gérard Presgurvic est de retour : toujours avec Damien Sargue mais sans Cécilia Cara, remplacé par la séduisante Joy Esther.
Je vous propose un zoom sur un retour presque réussi...
L'absence d'orchestre live dessert cruellement la pièce et des chansons comme Vérone en ouverture gagneraient vraiment énormément en puissance sonore et émotionelle.
La performance vocale des chanteurs est d'ailleurs beaucoup plus mise en avant avec un orchestre qu'avec une bande enregistrée.
Publié le : 22/03/2010 à 21h52
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Un violon sur le toit au Palace
J'ai pu assister en fin de semaine dernière à une représentation de "le violon sur le toit". (Fiddler on the roof)
Et j'en suis revenu enchanté... Même si nous avions peur que le livret français signé Stéphane Laporte ne nous déçoive encore une fois... Car il faut bien avouer que nous n'avons pas réussi encore à accrocher avec ses textes : souvent vulgaires, avec un humour auquel je n'accroche pas du tout. Mais ici, contrairement au roi lion, pas question de référence douteuse avec des rideaux de chez Tati etc., pourtant le thème aurait pu s'y pretter : une communauté juive vivant dans la tradition...
Mais la première surprise a été à ce niveau là ! Alors effectivement, cette adaptation est réussie au niveau du livret. J'ai bien accroché et à aucun moment je n'ai "tiqué" contrairement à Fame par exemple ou au roi lion.
Publié le : 22/02/2010 à 08h52
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Manhattan : le jeu de Ludodélire
Jeu créé par la société Ludodélire qui contrairement à la Vallée des Mammouths, Formule Dé, ou Footmania n'a, à ma connaissance, pas été repris par une autre société.
J'ai la chance d'en posséder un exemplaire.
Chaque joueur incarne une société immobilière qui comme on peut s'en douter est spécialisée dans la construction de gratte ciels...
Mais là où on pourrait s'attendre à des règles très compliqués et développés, celles de Manhattan sont très simples : et une partie est relativement rapide (45min ~ 1h)
A chaque tour, chaque joueur dispose de 6 "morceaux" de gratte ciel à 1,2,3 ou 4 étages et peut construire sur un terrain libre ou rajouter des étages à une tour existante et prendre ainsi le contrôle de l'immeuble d'un de ses adversaires...
A la fin de chaque tour, on compte les points. Un par tour, un bonus pour chaque quartier où vous êtes majoritaire et un bonus supplémentaire pour celui qui possède la tour la plus haute du plateau de jeu.
Manhattan fait la part belle à la stratégie et à l'anticipation : si un joueur prend mon building, ai-je plutôt intérèt à le reprendre, ou en prendre un autre, ou encore à construire ailleurs ? Les combinaisons sont nombreuses !
La seule chose qui se ait au hasard est le fait que l'on ne peut pas construire là où on le souhaite : il faut avoir la carte correspondante !
Dommage que ce jeu n'ait jamais été repris : simple, rapide et stratégique, il permet de toujours passer un bon moment. Presque trop court d'ailleurs.
Publié le : 17/02/2010 à 08h54
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Fame ! I'm gonna live forever ! Le musical au trianon
J'ai eu la chance d'être invité par un ami à venir assister à une représentation de la comédie musicale "Fame"
Bon, bien que le simple nom de "Fame" me fasse penser à la série toute pourrite des années 70, je me suis dit : pourquoi pas. C'est suffisament culte pour mériter qu'on s'y intéresse après tout. Et puis un musical, on peut être surpris !
Et finalement, heureusement que je n'ai pas lu la critique du site musicalavenue.fr avant, sinon je ne sais même pas si j'aurai franchi la porte du théâtre Trianon.
Bon, je ne vais pas rentrer dans les détails de l'histoire, des étudiants, dans une école de danse, des amitiés et tout et tout. Bref, l'histoire est gentillette. Du coup, on peut se concentrer sur le reste... Et en 2h40 (avec entracte) il y a le temps pour ça !
... comme les décors... Ah euh. Oui bon, ok, à part le gros "FAME" lumineux en arrière plan, il n'y a rien. Mais du coup, on peut se concentrer sur le reste...
... comme les paroles... Ah. Bon, ça, j'ai au moins été conforté dans mon idée : Stéphane Laporte est un bien piètre adaptateur/traducteur. Ou du moins pour ne pas faire de diffamation, je n'apprécie pas du tout son travail. J'y reviendrai. Mais du coup, on peut se concentrer sur le reste...
... comme l'orchestre... Euh, oui, mais c'est à dire que... y'en avait un "avant", mais pour cette reprise au théâtre Le Trianon, il n'y a plus d'orchestre... Du coup, comme ça, vous l'aurez compris, on peut se concentrer sur le reste...
Mais que reste-t'il ??
Bon, il n'en demeure pas moins que les chanteurs m'ont convaincus, que les chorégraphies étaient dans l'ensemble bien exécuté, sobre, mélangeant classique et contemporain : au moins là dedans, on s'y retrouve finalement.
Si on met de côté les défauts ci-dessus, le fait que le 2ème acte présente un certain nombre de longueurs, on passe un bon moment, mais il aurait pu être meilleur encore !
Fame est sauvé par les performances des acteurs qui essaie de faire oublier un texte vulgaire (S. Laporte et sa marque de fabrique ?) et l'absence d'orchestre. (et puis bon, j'ai aimé passer une bonne soirée entre amis, ça aide)
(Et si vous me trouvez méchant, allez lire la critique de musicalavenue.fr, ils sont pire que moi)
Publié le : 13/02/2010 à 08h56
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Linq, le jeu - Poisson Ours Autruche -
Linq est à la fois un jeu de rôles, de bluff et de vocabulaire.
Spontanément quand je le présente, je parle d'une ambiance mixant "loups garous de Thiercelieux" et le jeu télé "Pyramide"...
Le jeu se joue avec un minimum de 4 joueurs et jusqu'à 12 : 2 espions et un nombre variables de contrespions... Les deux espions doivent se reconnaître et les contrespions doivent les démasquer...
Pour se reconnaître, les deux espions ont un mot de passe, un mot en commun. A tour de rôle, chaque joueur va prononcer un mot.
Pour les espions, il est intéressant de dire un mot en rapport avec le mot de passe, afin de faire comprendre à l'autre espion qu'ils sont dans le même camp. Pour les contrespions, il faut repérer les espions en se faisant par exemple passer pour l'un d'eux et en prononçant un mot en rapport avec le précédent (vu qu'ils ne connaissent pas le mot de passe).
Mes explications peuvent paraître floues, mais on comprend assez vite et je vous garantie de bons gros fous rire ! Voila de quoi animer quelques soirées bien sympathiques ! (et puis ça change du loups garous, de jungle speed et autres time's up en tout genre)
Linq - Editions : In Ludo Veritas
Publié le : 18/01/2010 à 18h56
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Voila quelques temps que je n'ai pas parlé de restaurants...
Pas que je me sois mis au régime (bien loin de là, rassurez vous !)
J'ai eu l'occasion de manger au "SteakHouse", restaurant plutôt situé au disney village. J'y étais aller il y a quelques années (quasi une dizaine je pense ou presque) avec mes parents, pour profiter du "brunch avec les personnages Disney". Cela ne m'avait pas marqué. Ou du moins pas plus que ça. (adolescence et compagnie n'aidant pas)
Bref, j'ai été comblé.
Malgré quelques petits désagréments sur lesquels je reviendrai plus tard, j'ai passé une excellente soirée, et mon estomac est ressorti vraiment bien rempli.
Finalement, après quelques hésitations, nous avons décidé de manger "à la carte", grand luxe finalement, mais les desserts ne nous enchantaient pas plus que ça.
Cityvox.fr ne se trompe pas lorsqu'il parle du steak House comme : LE restaurant gastronomique de Disney. On est effectivement bien proche de cette définition. La viande y est fameuse et on se régale d'une pièce du boucher de 300g avec plaisir !
En entrées, on pourra hésiter avec le millefeuille tomate/mozarella/basilic et ses copaux de parmesan, et sa tapenade. Vraiment très frais. très bon. idéal pour une mise en bouche... mais qui a le défaut déjà bien remplir la panse...
Le carpaccio de boeuf au chèvre en entrée avait l'air bien sympathique aussi, mais il n'y en avait plus...
Seul point noir (ou presque) : le prix... La hausse de la TVA ne l'a pas épargné, même si on a effectivement constaté une baisse minime voire insignifiante des prix.
Et puis bon, quand même quand j'allais commandé mon "UpDown Italy" (ou approximativement), et que le mec a dit : "ah oui : une tomate mozza" , j'ai pas trouvé ça très sexy... Mais bon, passons.
Ci-dessus, votre fidèle serviteur et une vue plus générale donnant une idée de l'ambiance du restaurant, très "prohibition/chicago toussa toussa".
Bref, végétariens, passez votre chemin ! (et ce n'est pas que pour la rime).
Pour les autres, pensez à réserver à l'avance ! C'est souvent plein.
Publié le : 21/12/2009 à 22h14
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Mais qui est Monsieur Schmitt ? C'est Richard Berry !
Sébastien Thiery nous offre encore une fois une pièce à première vue farfelue à l'image de "Cochons d'Inde" (molière de la meilleure pièce comique 2009)...
Cette fois, ce n'est pas Patrick Chesnais qui tient le premier rôle mais Richard Berry. L'auteur est également présent en tant qu'acteur.
Monsieur et Madame Bélier sont en train de dîner dans leur appartement, quand tout à coup, le téléphone sonne. Or, les Bélier ne sont pas abonnés au téléphone. On demande un certain Monsieur Schmitt. Les Bélier, ahuris, réalisent alors qu’ils ne se trouvent pas chez eux, ils donc sont enfermés dans l’appartement d’un d’autre....
Au premier abord comique, cette pièce se veut plus profonde, et nous entraine dans un monde absurde kafkaïen...
La détresse dans laquelle se trouve l'homme veut nous interpeller, nous crier que d'une vie bien rangée, pleine de solitude (même si cette solitude n'est pas physique) à la folie il n'y a qu'un pas...
Et ce pas Monsieur Bélier l'a franchi...
Sébastien Thierry et ses pièces je crois que c'est "on aime" ou "on aime pas"... mais il est difficile d'avoir un avis "entre les deux"... Moi j'aime assez. Mes camarades de théâtre aiment beaucoup moins....
Je ne trouve pas qu'en dire de plus en fait... Mais si ça me revient, je mettrai cette critique à jour.
Pour tous ceux qui apprécient le théâtre de l'absurde, "Qui est Monsieur Schmitt" vous ravira...
Publié le : 27/10/2009 à 19h38
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Panique au ministère avec Amanda Lear
Le théâtre de la Renaissance nous propose en cette rentrée la pièce de Jean Franco et Guillaume Melani : "Panique au ministère" !
Un vaudeville classique et sans saveur particulière si ce n'est celle d'avoir "Amanda Lear" à l'affiche : car il faut bien le dire : elle s'en sort très très bien dans le rôle de la mère déjantée !
Synopsis : (Evene.fr)
Gabrielle est la chef de cabinet du Ministère de l'Education nationale. Entre Louis, son ministre qui ne comprend rien, Cécile, sa mère croqueuse d'hommes et Sarah, sa fille en quête d'indépendance, elle n'est pas beaucoup aidée. L'arrivée de Eric, homme de ménage de 20 ans son cadet, va faire voler en éclats ses habitudes d'éternelle célibataire et semer la panique au Ministère.
On passe un excellent moment néanmoins, les quelques références à la politique actuelle sont plus fines que dans Oscar avec Bernard Tapie et bien trouvées.
Chaque acteur joue à merveille, Camille Hugues et Edouard Collin, les deux "jeunes" acteurs de cette pièce laissent entrevoir une belle perspective de carrière.
Bref, si vous voulez rigoler, profiter d'une bonne soirée à moindre frais, que "la cage aux folles" juste à côté, est complet : n'hésitez pas : vous passerez un très bon moment !
Si vous êtes à la recherche d'une chouette pièce originale loin des Vaudeville et histoires de fesses parisiennes, passez votre chemin... Vous risquez d'être déçu...
petite séance de "chat-bitte" pour Edouard Collin et Amanda Lear ? (ou pas)
Photos : blog.mouzet.com
Publié le : 07/10/2009 à 18h57
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